Année : 2025

165- Action antihypertensive de l’acupuncture : exploration en temps réel du mécanisme.

Cette étude repose sur la mise au point d’une aiguille-capteur implantée, développée pour mesurer en temps réel la libération de sulfure d’hydrogène (H₂S) dans le noyau paraventriculaire (PVN). Elle vise à analyser le rôle de H₂S dans l’action antihypertensive de l’acupuncture.

164- L’acupuncture dans la réanimation des chiots nouveau-nés après césarienne.

Cette étude vise à évaluer l’effet de l’acupuncture aux points 26VG (shuigou) et 1Rn (yongquan) dans le cadre d’une réanimation cardio-pulmonaire de chiots nouveau-nés après césarienne.

163- Efficacité de l’acupuncture dans l’arthrose de la cheville au stade initial.

L’objectif de cette étude est d’évaluer l’effet de l’acupuncture sur la douleur, la fonction articulaire et les caractéristiques de la marche chez des patients atteints d’arthrose débutante de la cheville.

162- Les exosomes : une détection immédiate de l’effet biologique de l’acupuncture.

Cette étude vise à détecter en temps réel l’action biologique induite par l’acupuncture, en analysant de manière non invasive les exosomes du liquide interstitiel cutané. Pour cela, un dispositif à aiguilles micrométriques est présenté et validé expérimentalement. Dans le prolongement de cette approche, une revue du rôle des exosomes dans les mécanismes d’action de l’acupuncture est effectuée.

161- Régions cérébrales impliquées dans l’action antalgique de l’acupuncture : une revue en neuroimagerie.

L’étude de He et al. (2025) présente une revue systématique des régions cérébrales activées par l’acupuncture, en utilisant des données de neuroimagerie. Elle identifie un noyau d’activation stable, notamment dans le cortex cingulaire antérieur, l’insula, et le cortex préfrontal, suggérant un effet central spécifique de l’acupuncture dans le traitement de la douleur.

160- Acupuncture et procréation médicalement assistée : un consensus d’experts.

Cette étude vise à établir un consensus international sur l’intégration des techniques non pharmacologiques de la médecine chinoise et plus particulièrement de l’acupuncture dans le parcours de procréation médicalement assistée (PMA), en s’appuyant à la fois sur la littérature scientifique existante et sur l’expertise d’un panel multidisciplinaire.

159- L’acupuncture option thérapeutique dans les recommandations françaises sur la gonarthrose.

L’acupuncture figure comme option thérapeutique dans la prise en charge de la gonarthrose dans les recommandations conjointes de la SFR et de la SOFMER, avec un niveau de preuve 1A, le plus élevé.
Mais de nombreuses réserves sont émises dans la formulation ou l’argumentaire, traduisant une tension qu’il faut interroger entre données probantes et avis d’expert.

158- Confirmation de l’efficacité de l’acupuncture aux points yaotongdian dans la colique néphrétique.

Un nouvel essai contrôlé randomisé confirme l’efficacité de l’acupuncture aux points yaotongdian dans la colique néphrétique, avec un effet spécifique versus fausse acupuncture.

157- Super-enhancers et épigénétique dans le mécanisme moléculaire de l’acupuncture.

« Et si l’acupuncture agissait jusqu’au cœur de notre génome ? » En explorant le rôle des super-enhancers — ces régions du génome capables d’amplifier puissamment l’expression de certains gènes — cette étude préclinique ouvre une nouvelle voie : celle d’une acupuncture capable de moduler, à l’échelle moléculaire, des mécanismes impliqués dans la réparation cérébrale après un AVC.

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