Les points sifeng (四缝 4 plis) sont un ensemble de quatre points curieux situés au centre des plis des articulations interphalangiennes proximales (IPP).

Introduction

Les points sifeng (四缝 4 plis) sont un ensemble de quatre points curieux situés au centre des plis des articulations interphalangiennes proximales (IPP).
Ils figurent parmi les points hors-méridiens essentiels, les plus cités dans les sources [1].
Une analyse approfondie de ces points met en évidence un ensemble de problématiques particulières conduisant à une réflexion générale.

A- Les points sifeng

A1- Origine

He Yuan et Lin Jie retracent l'historique des points sifeng à travers quatre grands traités de la période impériale [2]:

Qi Xiao Liang Fang. C'est dans cet ouvrage, publié en 1470 (dynastie Ming), que figure la première mention des points sifeng. Ce traité, rédigé par Dong Su, médecin du Collège impérial, est divisé en 69 volumes et 64 chapitres, dont un chapitre consacré aux "points extraordinaires". Les points sifeng sont ainsi décrits : "Les quatre points sifeng sont situés au milieu des articulations des quatre doigts. Utilisez une aiguille triangulaire pour les faire saigner afin de traiter des maladies telles que la malnutrition infantile." Bien que succinct, ce texte décrit la localisation des points, la technique et les indications. Toutefois, il existe une ambiguïté concernant l'expression "milieu des articulations".
Zhen Jiu Da Cheng. Publié en 1601 et rédigé par Yang Jizhou, ce grand traité classique est basé sur de nombreux textes médicaux antérieurs. Il reprend la localisation des points sifeng comme étant "au milieu des articulations des quatre doigts". Mais en comparant cette description avec d'autres mentions de l'expression "milieu des articulations" dans le même ouvrage, il apparaît qu'il est fait référence aux plis transversaux des articulations proximales des doigts. Parallèlement Yang Jizhou innove dans la conception des aiguilles, en modifiant le manche des aiguilles triangulaires pour une meilleure prise en main, innovation largement reprise par la suite.
Chuan Ya Nei Wai Bian. Rédigé par Zhao Xueming en 1759, cet ouvrage est basé sur les expériences des "médecins itinérants". Il décrit en détail l'utilisation des points sifeng, leurs indications cliniques (notamment la malnutrition infantile), les techniques et profondeurs de puncture.
Zhen Jiu Ji Cheng. Publiée en 1874 par Liao Runhong, ce traité enrichit la localisation des points sifeng en ajoutant des détails sur la présence de veinules superficielles. Il élargit les indications avec la bronchite, l'anémie ou encore la constipation infantile en se basant sur des observations cliniques.

A2- Localisations

La plupart des grandes sources modernes situent les sifeng au milieu des plis des interphalangiennes proximales (IPP). Mais on peut noter des divergences dans d'autres sources (fig. 1). Ces divergences sont relevées par Deng Liangyue [3], Zhang Rui-fu [4] ou encore Wang Yunna [5].

Principales variations de localisation des points sifeng. A gauche : 4 points au centre des plis, soit au niveau des IPP (interphalangiennes proximales), soit au niveau des IPD (interphalangiennes distales). A droite : 8 points aux extrémités médiales et latérales des IPP, ou 1 seul point au centre de l'IPP de l'annulaire. — **Figure 1.** Principales variations de localisation des points *sifeng*. A gauche : 4 points au centre des plis, soit au niveau des IPP (interphalangiennes proximales), soit au niveau des IPD (interphalangiennes distales). A droite : 8 points aux extrémités médiales et latérales des IPP, ou 1 seul point au centre de l'IPP de l'annulaire.

4 points aux interphalangiennes proximales (IPP)
4 points situés au milieu des articulations interphalangiennes proximales à la face palmaire des 2ème au 5ème doigts, à l'exclusion du pouce.
Localisation admise par la plupart des sources.

Localisation la plus couramment admise des points sifeng. — **Figure 2**. Localisation la plus couramment admise des points *sifeng*.

Variation A : 4 points aux interphalangiennes distales (IPD)
4 points situés au milieu des plis des interphalangiennes distales (IPD) et non des IPP.
Variation citée notamment par Zhang Rui-Fu [4], Wang [5] ou Yue [6].
Origine : - Pour Zhang Rui-fu [4] : Hao Jin-kai. Zhenjiu Jingwai Qixue Tupu. [Atlas of Extrachannel Acupuncture Points, Volumes I and II]. Shaanxi People's Publishing House. 1963. - Pour Wang [5] : Zhang Zhenyu. Shuxue Xue Gailun [Introduction to the Study of Acupuncture Points]. Beijing: People's Medical Publishing House. 1974.

Localisation des sifeng au niveau des IPD (Zhang Rui-Fu [4]). — **Figure 3.** Localisation des *sifeng* au niveau des IPD (Zhang Rui-Fu [4]).

Variation B : 8 points aux interphalangiennes proximales (IPP)
8 points : 2 points aux extrémités médiale et latérale de chaque pli des interphalangiennes proximales et non plus un seul point au mileu des plis.
Variation citée notamment par Deng [3], Zhang Rui-Fu [4], Wang [5] ou Yue [6]. Correspond aux points zhizhongjiejiaotou 指中节教头 décrits par Li Su Huai [7].
Origine: Pour Wang [5] et Yue [6] : Cheng Dan-an. Zhong Guo Zhen Jiu Xue [Chinese Acupuncture and Moxibustion]. Beijing: People's Medical Publishing House. 1955.

Localisation des sifeng aux extrémités médiale et latérale des IPP (Li Su Huai décrit cet ensemble comme points zhizhongjiejiaotou, non comme sifeng [7] ). — **Figure 4.** Localisation des *sifeng* aux extrémités médiale et latérale des IPP (Li Su Huai décrit cet ensemble comme points *zhizhongjiejiaotou*, non comme *sifeng* [7] ).

Variation C : un seul point à l'IPP de l'annulaire
Point unique situé au milieu de l'IPP du 4ème doigt.
Variation citée par Wang [5] et Yue [6].
Origine : Zhenjiu Kouxue Ji Qi Liaofa Bianlan. Beijing: People's Medical Publishing House. 1982.

Note : considéré par Wang [5] comme une confusion entre "les quatre doigts" et "le quatrième doigt" (l'annulaire). Correspond au point Foie de la mano-acupuncture (cf. infra)

**Figure 5.** Point unique "sifeng" localisé à l'IPP de l'annuaire (d'après Wang [5]).

Les autres points sifeng

Des cliniciens ont également identifié des points aux effets similaires mais situés ou combinés différemment. Sont ainsi cités par Wang Yunna [5] :

les "nouveaux sifeng" : situés sur les IPP du pouce et de l'orteil.
les "sifeng supérieurs", "inférieurs" ou "centraux" (au niveau des IPD, IPP et métacarpo-phalangiennes).

A3- Indications

Yue Gonglei et al [6] soulignent les deux grandes indications des traités classiques : la coqueluche et la malnutrition infantile. De nouvelles indications apparaissent particulièrement dans le Zhen Jiu Ji Cheng de Liao Runhong (1874) et dans le Xin Zhen Jiu Xue de Zhu Lian (1951).

Dans les revues ou traités récents, les points sifeng apparaissent comme des points majeurs en acupuncture pédiatrique. Les principales indications mentionnées :

pathologies digestives ou de la nutrition (essentiellement chez l'enfant, mais également l'adulte) : anorexie, malnutrition, dyspepsie, constipation, diarrhée, nausées et vomissements, ascaridiose.
pathologies respiratoires (essentiellement chez l'enfant, mais également l'adulte) : coqueluche, toux chronique, pneumonie, bronchiolite.
peurs nocturnes, trouble de tics de l'enfant.
pathologies dermatologiques (psoriasis..),
oncologie (anorexie, effets digestifs indésirables des chimiothérapies).
atteintes digitales rhumatismales ou post-AVC.

Il est essentiel d'observer que ces indications sont étayées par un très important corpus d'études cliniques. Jusqu'à ce jour, 303 études cliniques (du rapport de cas à l'essai contrôlé randomisé) portant expressément sur les points sifeng (avec "sifeng" dans le titre de l'article) sont indexées dans la base de données chinoise CNKI. Ce nombre important ne se retrouve que pour les grands points cardinaux de l'acupuncture (36E, 4GI, 6Rte...). 9 pathologies sont étayées par ≥ 5 études cliniques, et regroupent à elles seules 86% des études (fig. 6).

303 études cliniques sur les points sifeng sont indexées dans la base de données CNKI. 9 pathologies avec ≥ 5 études cliniques. — **Figure 6.** 303 études cliniques sur les points *sifeng* sont indexées dans la base de données CNKI. 9 pathologies avec ≥ 5 études cliniques.

Le traitement de l'anorexie infantile par les points sifeng a fait l'objet de deux revues systématiques avec méta-analyses d'essais contrôlés randomisés [8, 9]. La dernière de 2023, regroupe 24 ECR et 2022 enfants [9].

Ce type de revues systématiques portant sur l'évaluation de l'efficacité d'un point d'acupuncture particulier dans une indication donnée est relativement rare. Par exemple :

6Rte dans la dysménorrhée [10]
25E dans la constipation [11]
Saignée du point erjian dans l'orgelet [12]
38E dans l'épaule gelée [13]

Ces revues systématiques montrent qu'il existe une recherche clinique suffisamment abondante sur ces sujets pour que la question puisse être abordée. Elles attirent tout particulièrement l'attention sur l'intérêt thérapeutique spécifique de ces différents points.

A4- Techniques

La technique utilisée au niveau des points sifeng est principalement la puncture à l'aiguille triangulaire (fig. 7).

Les autres techniques de stimulation ne représentent que moins de 3% des publications (Tableau 1).

Technique de stimulation des points sifeng dans 536 publications (d'après Wang [5]). — **Tableau I.** Technique de stimulation des points *sifeng* dans 536 publications (d'après Wang [5]).

La puncture à l'aiguille triangulaire vise à l'obtention d'un saignement ou à l'extraction d'un liquide jaune clair, transparent et visqueux (fig. 8)

Liquide jaune clair, transparent et visqueux après puncture des points sifeng. — **Figure 8.** Liquide jaune clair, transparent et visqueux après puncture des points *sifeng*.

Pour Yue [6] cette mention d'un liquide jaune clair date de l'époque moderne. Elle est sans doute à mettre en relation avec un œdème des extrémités dans le contexte de malnutrition infantile. Ce liquide a fait l'objet d'analyses biologiques [14].

La fréquence de traitement la plus courante est d'une séance par semaine [5], ce qui est relativement espacé par rapport aux fréquences usuelles en acupuncture..

B- Les points des plis interphalangiens (non sifeng)

D'autres points (non-sifeng) sont également décrits au niveau des plis interphalangiens (IPP ou IPD) se superposant donc en partie aux sifeng.

B1- Les points centraux des plis

**Figure 9**. Les points centraux des IPP et IPD.

Index

IPD : Convulsion 4
Au centre du pli de l'interphalangienne distale de l'index.
Cité par Li Su Huai [7].
Éclampsie, convulsions infantiles, distension abdominale, diarrhée, constipation, appendicite vermiforme, ascaridiose biliaire.

**Figure 10.** Convulsions 4 (Li Su Huai [7]).

IPP : Intestin Grêle
Situé au centre du pli de l'interphalangienne proximal de l'index.
Cité par Wang [5].
Dyspepsie infantile, coqueluche, parasitose biliaire, ulcères digestifs.

**Figure 11.** Point Intestin Grêle (d'après Wang [5]).

Majeur

IPD : Douleur abdominale
Au centre du pli de l'interphalangienne distale du majeur.
Cité par Li Su Huai [7].
Tuberculose mésentérique, douleur abdominale, fièvre, neurasthénie, asthme, urticaire, anorexie, maux de dent, apoplexie.

**Figure 12.** Douleur abdominale (Li Su Huai [7]).

IPP : Indigestion infantile
Situé au centre du pli de l'interphalangienne proximal du majeur.
Point consensuel de mano-acupuncture (par exemple Shanghai Zhen Jiu Xue [15]).
Dyspepsie infantile, indigestion infantile.

Annulaire

IPP : Foie
Au centre du pli de l'interphalangienne proximale de l'annulaire.
- Cité par Li Su Huai [7] et Wang [5]. - Point de mano-acupuncture cité par Lo Chi Kwong [16].
Affections hépato-biliaires, céphalée, douleur thoracique, ascaridiose des voies biliaires.

Note : correspond à la variation C des points sifeng (Fig. 5).

IPD : Poumon ou Rate
Au centre du pli de l'interphalangienne distale de l'annulaire.
- Poumon cité par Li Su Huai [7]. - Rate : point de mano-acupuncture cité par Lo Chi Kwong [16].
- Toux, asthme, rhinite chronique, vomissements, affections cardio-pulmonaires, urticaire (Li Su Huai [7]). - Indigestion (Lo Chi Kwong [16]).

Auriculaire

IPP : Énurésie 2
Au centre du pli de l'interphalangienne proximale de l'auriculaire.
Point de mano-acupuncture cité par Lo Chi Kwong [16] et Li Su Huai [7].
Douleurs des lombes et des membres inférieurs, orchite, annexite, énurésie, incontinence urinaire.

**Figure 16.** Énurésie 2 (Li Su Huai [7]).

IPD : Énurésie 1
Au centre du pli de l'interphalangienne distale de l'index.
Point consensuel de mano-acupuncture (par exemple Shanghai Zhen Jiu Xue [15]).
Maux de dents, acouphènes, surdité, diarrhée, constipation, distension abdominale, hématurie, rétention urinaire, inconscience, douleurs des lombes et des membres inférieurs, annexite chronique, incontinence urinaire, énurésie, maladies rénales.

**Figure 17.** Énurésie 1 (Li Su Huai [7]).

B2- Les points des extrémités des plis

**Figure 18.** Les points des extrémités latérales et médiales des plis des IPP.

IPP : Milieu de l'auriculaire
A l'extrémité médiale du pli de l'interphalangienne proximale de l'auriculaire.
Cité par Li Su Huai [7].
Tumeurs.

**Figure 19.** Milieu de l'auriculaire (Li Su Huai [7]).

B3- Les associations de points au niveau des plis

Les six points liufeng
Aux quatre points de la description classique sont associés deux points du pouce (interphalangienne et métacarpophalangienne).
Liufeng 六缝 (les six plis), cités notamment par Li Su Huai [7] et Guillaume [17].
Furonculose.

**Figure 20.** *Liufeng* (Li Su Huai [7]).

Les deux points duanzheng
Deux points au centre des plis interphalangiens proximal et distal du majeur.
Cités par Li Su Huai [7].
Dyspepsie, mésentérite tuberculeuse.

**Figure 21.** *Duanzheng* (Li Su Huai [7]).

Les trois points neizhongkui
Trois points : un point au centre du pli de l'interphalangienne proximale du majeur et deux points à 0.1 inch au-dessus et au dessous.
Cités par Li Su Huai [7].
Psoriasis.

**Figure 22.** *Neizhongkui* (Li Su Huai [26]).

Les deux points sanming
Deux points : un à l'extrémité latérale du pli de l'interphalangienne distale de l'index, un autre à l'extrémité médiale du pli de l'interphalangienne distale de l'auriculaire.
Cités par Li Su Huai [7].
Maladies des yeux.

**Figure 23.** *Sanming* (Li Su Huai [7]).

C- Discussion

En acupuncture on distingue 361 points appartenant aux méridiens et un nombre bien plus grand de points dits "hors-méridien" : 588 dans la 1ère édition du traité sur les points curieux de Hao Jinkai (1963, [18]), 1219 dans la dernière édition (2016), 1231 dans le traité de Li Su Huai (1976, [7]). Ce constat relativise la place des méridiens dans une définition de l'acupuncture.
Parmi ces points dits "hors-méridiens" les points sifeng sont les points les plus souvent cités dans les traités de base [1]. L'utilisation clinique de ces points est effectivement étayée par un grand nombre d'études cliniques montrant une relative unité des indications et des techniques. Cela témoigne d'une solide base empirique de l'acupuncture.
La localisation des sifeng au milieu des plis des IPP est la plus courament admise, mais d'autres localisations sont également proposées dans des traités modernes. Ces divergences peuvent être liées soit à des variations de pratiques (il est souvent fait référence à une tradition familiale) soit à une différence (sinon une erreur) d'interprétation des textes classiques. Ces derniers laissent en effet place à une certaine incertitude. Yue souligne l'importance de la standardisation des localisations des points sifeng pour assurer une application clinique cohérente et efficace [6]. Cette observation peut être étendue à bien d'autres points d'acupuncture qu'ils soient méridiens [19] ou hors-méridiens [20].
Sur les plis des articulations interphalangiennes sont également décrits des points distincts des sifeng, partageant donc avec eux les mêmes localisations. C'est le cas notamment des points de la mano-acupuncture. Cette dernière présente elle-même d'importantes variations fonctions de 8 écoles différentes [21]. Cela illustre que sur un ensemble des points d'acupuncture il peut y avoir une superposition de différents cadres conceptuels et qu'une clarification s'impose.
On retrouve les mêmes problématiques, par exemple au niveau du crâne où se superposent aux points méridiens et hors-méridiens pas moins de 19 systèmes d'acupuncture crânienne [22], ou encore au niveau de l'oreille avec les variations de l'acupuncture auriculaire chinoise et celles de l'auriculothérapie de Nogier [23].
Les concepts théoriques qui sous-tendent les différents systèmes sont très peu satisfaisants et posent une question centrale en acupuncture. Chaque point doit être défini par la réalité clinique et expérimentale de son action, non par le système auquel il peut être arbitrairement rattaché.

**Figure 24.** La mano-acupuncture : exemples de localisations différentes s'inscrivant dans des cadres conceptuels différents.

Les points cités (avec liens sur les articles de l'Ecyclopédie des Sciences Médicales Chinoises) : sifeng - zhizhongjiejiaotou - jingfengdian 4 (convulsion 4) - intestin grêle - futongdian (douleur abdominale) - indigestion infantile - ganxue (foie) - fixue (poumon) - yeniaodian 2 (énurésie 2) - yeniaodian 1 (énurésie 1) - xiaozhizhongjie (milieu de l'auriculaire) - liufeng (six plis) - duanzheng - neizhongkui - sanming.

Drs Claude Pernice, Florence Phan-Choffrut et Johan Nguyen

Références

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Deng Liangyue et al. Les points d’acupuncture et leur localisation. Normes officielles de la République Populaire de Chine. Beijing: Editions en Langues Etrangères. 1993.
Zhang Rui-Fu et al. Illustrated Dictionary of Chinese Acupuncture. Beijing: People’s Medical Publishing House. 1985.
Wang Y. [Ancient and modern clinical application of Sifeng (EX-UE10): a literature review]. Guangzhou University of Chinese Medicine; 2017.
Yue G, Yan B, Zhang K, Du G. [Textual discussion on Sifeng of extra points]. J Changchun Univ Chin Med. 2018 Oct;34(5):995-998.
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Nguyen J. Auriculopuncture. Paris: Encyclopédie des médecines naturelles. 1989;II-2:16P.

Mots-clés : Points

117- Les points sifeng et les points des interphalangiennes.

Introduction

A- Les points sifeng

A1- Origine

A2- Localisations

A3- Indications

A4- Techniques

B- Les points des plis interphalangiens (non sifeng)

B1- Les points centraux des plis

Index

Majeur

Annulaire

Auriculaire

B2- Les points des extrémités des plis

B3- Les associations de points au niveau des plis

C- Discussion

Références

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Introduction

A- Les points sifeng

A1- Origine

A2- Localisations

A3- Indications

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B- Les points des plis interphalangiens (non sifeng)

B1- Les points centraux des plis

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